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Congruence

 Permettez-moi d'imaginer et d'analyser le scénario que vous décrivez, en le décomposant étape par étape. Je vais m'appuyer sur votre cadre (photon à vitesse intrinsèque nulle, transporté par des espaces générés par les masses, temps nul, congruence menant à l'annulation et à la gravité), tout en reliant aux concepts physiques établis pour voir comment cela pourrait s'articuler ou diverger. Cela reste spéculatif, mais c'est une belle occasion d'explorer des idées novatrices.

1. Le départ du photon de la Terre

  • Dans votre modèle : Le photon émis depuis la Terre (par exemple, d'une source lumineuse comme le Soleil réfléchi ou un laser) a une vitesse intrinsèque nulle et un temps propre mesuré à zéro. Il n'est pas "en mouvement" par lui-même, mais est transporté par l'espace généré par la masse de la Terre. Cet espace agit comme un "vecteur" dynamique, portant le photon à travers l'univers. Comme le photon n'a ni masse ni temps (propriétés relativistes standard pour les photons, où leur temps propre est nul), il reste une entité "intemporelle" et "sans inertie", encodant des informations sur son point d'origine : la Terre, avec toutes les données liées (par exemple, la composition spectrale de la lumière, reflétant l'atmosphère terrestre, la température, etc.).
  • Lien avec la physique établie : En relativité générale, les photons suivent des géodésiques nulles (chemins où ds² = 0 dans la métrique de l'espace-temps), courbés par la présence de masses. Près de la Terre, le champ gravitationnel faible dévie légèrement la trajectoire de la lumière (effet mesuré lors d'éclipses solaires, confirmant Einstein). Dans votre vision, au lieu d'une courbure globale, c'est l'espace "local" généré par la Terre qui "transporte" le photon, donnant l'illusion d'une propagation à c (299 792 458 m/s). L'information encodée dans le photon (fréquence, polarisation) pourrait être vue comme une "mémoire" quantique, préservée grâce à son absence de temps propre.

2. L'arrivée au point de Lagrange

  • Dans votre modèle : Le photon, transporté par l'espace terrestre, atteint un point de Lagrange (par exemple, L1 ou L2 dans le système Terre-Soleil, situés à environ 1,5 million de km de la Terre). Là, les espaces générés par les masses de la Terre et du Soleil deviennent "congruents" – c'est-à-dire alignés ou superposables de manière à s'annuler mutuellement. Cette annulation crée la gravité entre la Terre et le Soleil : au lieu d'une force attractive classique, la gravité émergerait de cette neutralisation des espaces, formant une sorte de "lien" ou de tension entre les deux masses. Le photon, n'ayant ni masse ni temps, n'est pas affecté par cette annulation ; il "passe" simplement d'un espace à l'autre, continuant sa route dans l'espace généré par le Soleil, tout en conservant l'information de la Terre.
  • Lien avec la physique établie : Les points de Lagrange sont des positions d'équilibre dans un système à deux corps (comme Terre-Soleil), où les forces gravitationnelles et centrifuges s'équilibrent pour un objet de masse négligeable. Par exemple, L1 est entre la Terre et le Soleil, où un satellite comme SOHO reste stable sans propulsion constante. Ce n'est pas une "annulation" totale de la gravité, mais un équilibre : les gradients gravitationnels se compensent, créant une région où un objet peut "flotter" relativement. Dans votre théorie, cette congruence et annulation pourraient reformuler la gravité comme une interférence destructive entre espaces générés, un peu comme dans des modèles émergents où la gravité est une illusion holographique. Cependant, en relativité, la gravité n'est pas "créée" à ces points ; elle est omniprésente, et les points L sont juste des minima potentiels.
  • Implications spéculatives : Si l'annulation des espaces congruents génère la gravité, cela pourrait expliquer pourquoi la gravité est attractive : l'annulation crée un "vide" ou une tension qui "tire" les masses l'une vers l'autre. Pour le photon, traversant ce point sans perturbation (car sans masse), cela suggère que les photons agissent comme des "messagers" intemporels, reliant les espaces sans être altérés par la gravité – contrairement à la déviation observée en RG, où les photons sont défléchis par les champs gravitationnels. Dans votre cadre, cette déviation pourrait être due au "changement d'espace" au point de congruence, plutôt qu'à une courbure.

3. La continuation du photon dans l'espace du Soleil

  • Dans votre modèle : Une fois passé le point de Lagrange, le photon entre dans l'espace généré par la masse du Soleil, toujours à vitesse nulle intrinsèque mais transporté par ce nouvel espace. Il emporte avec lui l'information de la Terre (origine, propriétés physiques), qui pourrait être "imprimée" dans sa structure quantique (par exemple, via la phase ou la polarisation). Comme il n'a ni masse ni temps, il reste une entité purement informationnelle, potentiellement capable de propager ces données à travers l'univers sans dégradation.
  • Lien avec la physique établie : Les photons en champs gravitationnels forts (comme près du Soleil) subissent une déviation (lentille gravitationnelle) et un redshift gravitationnel, où leur énergie diminue en s'échappant du puits potentiel. Intéressamment, les photons eux-mêmes génèrent un faible champ gravitationnel via leur énergie (E = hν, et masse effective E/c²), mais c'est négligeable. Dans votre vision, le photon "porte" l'information de la Terre comme un hologramme, ce qui évoque la théorie de l'information quantique : les photons peuvent encoder des qubits (information quantique) et les transporter sans perte, tant qu'ils ne sont pas absorbés.

4. Implications globales et défis

  • Avantages de votre scénario : Cela offre une explication unifiée où la gravité émerge de l'interaction (congruence et annulation) entre espaces générés par les masses, avec les photons comme liens informationnels intemporels. Imaginez : la lumière du Soleil atteignant la Terre porte des infos solaires, et vice versa, créant une "toile" informationnelle qui maintient la cohésion gravitationnelle. Cela pourrait résoudre des paradoxes comme l'action à distance en gravité, en la rendant émergente d'espaces locaux.
  • Défis et questions ouvertes :
    • Observationnelle : Aux points de Lagrange, les photons ne montrent pas d'effet spécial d'"annulation" ; ils traversent normalement, avec une déviation mesurable près du Soleil. Comment votre modèle prédit-il des effets uniques, comme une variation de la lumière à L1 ?
    • Mathématique : Pour formaliser, on pourrait modéliser les espaces comme des métriques locales (ds²_terre et ds²_soleil), avec congruence signifiant une égalité tensorielle, et annulation comme une soustraction menant à une force ~ G m1 m2 / r². Le photon suivrait une "transition" entre métriques.
    • Spéculatif : Si les photons portent des infos de masses, cela pourrait impliquer une non-localité quantique, où l'information terrestre influence des événements solaires – fascinant, mais à tester.

Ce scénario est visuellement captivant : imaginez un photon comme un "fantôme" intemporel glissant entre domaines spatiaux, tissant la gravité via des annulations !



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