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Intégration de la mécanique de non-vie

 Réécrire la relativité générale (RG) en remplaçant la constante

c c (vitesse de la lumière dans le vide, environ 299 792 458 m/s) par votre constante RM=c RM = -c dans le cadre de votre "mécanique de non-vie" est une tâche ambitieuse et complexe, mais tout à fait réalisable en tant qu'exercice théorique. Dans votre modèle, RM RM représente la constante de vitesse négative associée à la génération d'espace par les masses, où RM2=c2 RM^2 = c^2 , et la matière est une forme d'énergie cinétique (E=12MRM2 E = \frac{1}{2} M RM^2 , avec M=2m M = 2m ). L'objectif est d'adapter les équations fondamentales de la RG, qui décrivent la gravité comme la courbure de l'espace-temps causée par la masse-énergie, en intégrant RM RM tout en restant cohérent avec votre vision (photons à vitesse nulle, non-vie, stockage d'information dans le complémentaire).

Je vais procéder étape par étape, en reformulant les concepts clés de la RG (métrique, équations d'Einstein, géodésiques) avec RM RM , en m'appuyant sur la dérivation précédente des transformations de Lorentz (qui restent inchangées car RM2=c2 RM^2 = c^2 ). L'approche sera mécanique, rigoureuse et transparente, en évitant les spéculations philosophiques, avec une vérification de la cohérence dimensionnelle et physique. Notez que cette réécriture est spéculative, car la RG est validée expérimentalement avec c c , mais nous explorerons les implications de votre cadre.


1. Rappel de la relativité générale classique

La RG repose sur :

  • L'espace-temps : Une variété pseudo-riemannienne à 4 dimensions, décrite par une métrique gμν g_{\mu\nu} , où l'intervalle invariant est : ds2=gμνdxμdxν=c2dt2dx2dy2dz2(en espace plat, meˊtrique de Minkowski).ds^2 = g_{\mu\nu} dx^\mu dx^\nu = c^2 dt^2 - dx^2 - dy^2 - dz^2 \quad (\text{en espace plat, métrique de Minkowski}).
  • Équation d'Einstein : Relie la courbure de l'espace-temps (tenseur d'Einstein Gμν G_{\mu\nu} ) au contenu masse-énergie (tenseur énergie-impulsion Tμν T_{\mu\nu} ) : Gμν=8πGc4Tμν,G_{\mu\nu} = \frac{8\pi G}{c^4} T_{\mu\nu},G G est la constante gravitationnelle, et c4 c^4 normalise les unités (énergie en kg m²/s², courbure en 1/m²).
  • Géodésiques : Les trajectoires des particules (massives ou sans masse, comme les photons) suivent les géodésiques, déterminées par la connexion de Levi-Civita dérivée de gμν g_{\mu\nu} .
  • Rôle de c c : Convertit le temps en unités spatiales (m/s), définit la vitesse limite pour les particules sans masse, et apparaît dans la normalisation énergétique.

Dans votre modèle :

  • RM=c RM = -c , donc RM2=c2 RM^2 = c^2 , ce qui préserve les carrés dans les équations.
  • Les photons ont une vitesse intrinsèque nulle, transportés par l'espace généré à RM=c |RM| = c .
  • La masse M M génère un espace, et l'énergie est E=12MRM2=mc2 E = \frac{1}{2} M RM^2 = m c^2 (avec M=2m M = 2m ).

2. Réécriture de la métrique avec RM

La métrique de l'espace-temps est la base de la RG. Dans la métrique de Minkowski (espace plat), l'intervalle est :

ds2=c2dt2dx2dy2dz2.ds^2 = c^2 dt^2 - dx^2 - dy^2 - dz^2.

Puisque RM2=(c)2=c2 RM^2 = (-c)^2 = c^2 , remplaçons c c par RM RM :

ds2=RM2dt2dx2dy2dz2.ds^2 = RM^2 dt^2 - dx^2 - dy^2 - dz^2.

Mathématiquement, cela est identique, car RM2=c2 RM^2 = c^2 . La signature de la métrique (+, -, -, -) reste inchangée, préservant la structure pseudo-riemannienne (cônes de lumière définis par ds2=0 ds^2 = 0 ).

Pour les photons (ou signaux intemporels dans votre modèle), ds2=0 ds^2 = 0 . En coordonnées (t, x, 0, 0) :

RM2dt2dx2=0    dx2=RM2dt2    dxdt=±RM=±c,RM^2 dt^2 - dx^2 = 0 \implies dx^2 = RM^2 dt^2 \implies \frac{dx}{dt} = \pm |RM| = \pm c,

ce qui est cohérent : les photons sont transportés à la vitesse apparente c c , même si leur vitesse intrinsèque est nulle dans votre cadre.

Dans une métrique générale (par exemple, Schwarzschild pour une masse ponctuelle) :

ds2=(12GMc2r)c2dt2(12GMc2r)1dr2r2(dθ2+sin2θdϕ2).ds^2 = \left(1 - \frac{2GM}{c^2 r}\right) c^2 dt^2 - \left(1 - \frac{2GM}{c^2 r}\right)^{-1} dr^2 - r^2 (d\theta^2 + \sin^2\theta d\phi^2).

Remplaçons c c par RM RM :

ds2=(12GMRM2r)RM2dt2(12GMRM2r)1dr2r2(dθ2+sin2θdϕ2).ds^2 = \left(1 - \frac{2GM}{RM^2 r}\right) RM^2 dt^2 - \left(1 - \frac{2GM}{RM^2 r}\right)^{-1} dr^2 - r^2 (d\theta^2 + \sin^2\theta d\phi^2).

Puisque RM2=c2 RM^2 = c^2 , la métrique reste identique formellement. Le rayon de Schwarzschild rs=2GM/c2=2GM/RM2 r_s = 2GM/c^2 = 2GM/RM^2 est inchangé, et les singularités (horizon, r=0) sont préservées.

Conclusion : La métrique de l'espace-temps, en termes de RM RM , est équivalente à la version classique, car RM2=c2 RM^2 = c^2 . Le signe négatif de RM RM n'apparaît pas directement ici, mais pourrait refléter un référentiel inversé (non-vie).

3. Équation d'Einstein avec RM

L'équation d'Einstein est :

Gμν=Rμν12Rgμν=8πGc4Tμν,G_{\mu\nu} = R_{\mu\nu} - \frac{1}{2} R g_{\mu\nu} = \frac{8\pi G}{c^4} T_{\mu\nu},

Rμν R_{\mu\nu} est le tenseur de Ricci, R R la courbure scalaire, et Tμν T_{\mu\nu} le tenseur énergie-impulsion (en kg/m s²). Le facteur c4 c^4 (en m⁴/s⁴) normalise les unités pour que Gμν G_{\mu\nu} (en 1/m²) corresponde à Tμν T_{\mu\nu} .

Remplaçons c c par RM RM :

Gμν=8πGRM4Tμν.G_{\mu\nu} = \frac{8\pi G}{RM^4} T_{\mu\nu}.

Puisque RM4=(RM2)2=(c2)2=c4 RM^4 = (RM^2)^2 = (c^2)^2 = c^4 , l'équation devient :

Gμν=8πGc4Tμν,G_{\mu\nu} = \frac{8\pi G}{c^4} T_{\mu\nu},

ce qui est identique à l'équation classique. Cependant, ajustons pour votre énergie E=12MRM2 E = \frac{1}{2} M RM^2 .

Ajustement pour M=2m M = 2m : Dans la RG classique, Tμν T_{\mu\nu} inclut la densité d'énergie ρc2 \rho c^2 . Pour une particule au repos, T00=ρc2 T_{00} = \rho c^2 , où ρ=m/V \rho = m / V (masse volumique). Dans votre cadre, l'énergie est :

E=12MRM2=mc2    T00=ρ12MRM2/m=ρc2(car M=2m,RM2=c2).E = \frac{1}{2} M RM^2 = m c^2 \implies T_{00} = \rho \cdot \frac{1}{2} M RM^2 / m = \rho c^2 \quad (\text{car } M = 2m, RM^2 = c^2).

Le tenseur énergie-impulsion reste compatible, car la densité énergétique est préservée. Ainsi, l'équation d'Einstein reste formellement inchangée, même avec M M et RM RM .

Implication : Le signe négatif de RM RM n'altère pas l'équation, car elle dépend de RM4 RM^4 . Cependant, dans votre mécanique, Tμν T_{\mu\nu} pourrait inclure une composante "non-vie" (par exemple, une pression négative dans le complémentaire), mais cela nécessiterait une modification explicite du tenseur.

4. Géodésiques et mouvement des particules

Les géodésiques décrivent les trajectoires des particules dans l'espace-temps courbé. L'équation des géodésiques est :

d2xμdτ2+Γαβμdxαdτdxβdτ=0,\frac{d^2 x^\mu}{d\tau^2} + \Gamma^\mu_{\alpha\beta} \frac{dx^\alpha}{d\tau} \frac{dx^\beta}{d\tau} = 0,

τ \tau est le temps propre, et Γαβμ \Gamma^\mu_{\alpha\beta} les symboles de Christoffel, dérivés de gμν g_{\mu\nu} . Puisque la métrique utilise RM2=c2 RM^2 = c^2 , les Γ \Gamma sont inchangés.

Pour les photons (ds² = 0), la géodésique nulle est :

RM2dt2=dr2+r2dΩ2(en Schwarzschild),RM^2 dt^2 = dr^2 + r^2 d\Omega^2 \quad (\text{en Schwarzschild}),

identique à la version classique, car RM2=c2 RM^2 = c^2 . Dans votre modèle, les photons, à vitesse intrinsèque nulle, suivent ces géodésiques car l'espace généré par les masses les "transporte" à RM=c |RM| = c .

Pour les particules massives, le temps propre τ \tau est lié à E=γmc2 E = \gamma m c^2 . Avec votre énergie :

E=γ12MRM2=γmc2,E = \gamma \cdot \frac{1}{2} M RM^2 = \gamma m c^2,

les géodésiques restent cohérentes, car γ=1/1v2/RM2=1/1v2/c2 \gamma = 1/\sqrt{1 - v^2/RM^2} = 1/\sqrt{1 - v^2/c^2} .

5. Intégration de la mécanique de non-vie

Dans votre cadre, la non-vie (complémentaire ensembliste) stocke l'information des interactions (via δSMRM2 \delta S \propto M RM^2 ). Cela pourrait modifier la RG en ajoutant un terme au tenseur énergie-impulsion pour représenter l'entropie du complémentaire. Par exemple :

Tμνnon-vieδSgμνMRM2gμν.T_{\mu\nu}^{\text{non-vie}} \propto \delta S g_{\mu\nu} \propto M RM^2 g_{\mu\nu}.

Cela ressemblerait à une constante cosmologique (Λgμν \Lambda g_{\mu\nu} ), représentant une pression négative dans le zéro (non-vie). L'équation d'Einstein modifiée pourrait être :

Gμν+Λnon-viegμν=8πGRM4Tμν,G_{\mu\nu} + \Lambda_{\text{non-vie}} g_{\mu\nu} = \frac{8\pi G}{RM^4} T_{\mu\nu},

Λnon-vieMRM2/lP2 \Lambda_{\text{non-vie}} \propto M RM^2 / l_P^2 .

6. Vérification et implications

  • Cohérence dimensionnelle : RM4=c4 RM^4 = c^4 (m⁴/s⁴), Gμν G_{\mu\nu} en 1/m², Tμν T_{\mu\nu} en kg/m s², tout reste cohérent.
  • Testabilité : La RG classique prédit des effets comme la précession de Mercure ou les lentilles gravitationnelles. Avec RM RM , les prédictions sont identiques à moins d'ajouter des termes non-vie (e.g., entropie complémentaire).
  • Défi : Le signe négatif de RM RM pourrait affecter les solutions dynamiques (e.g., expansion cosmologique), mais comme RM2=c2 RM^2 = c^2 , les équations statiques sont inchangées. Une exploration des solutions dynamiques (comme Friedmann) serait nécessaire.

Conclusion

La relativité générale réécrite avec RM=c RM = -c reste formellement équivalente à la version classique, car RM2=c2 RM^2 = c^2 dans la métrique et RM4=c4 RM^4 = c^4 dans les équations d'Einstein. La principale différence réside dans l'interprétation : RM RM représente la génération d'espace dans un référentiel non-vie, et la matière est une énergie cinétique. Pour intégrer pleinement la non-vie, un terme entropique MRM2 \propto M RM^2 pourrait être ajouté.

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