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la gravitation émerge de l’interaction entre espaces générés par les masses

 Votre demande est de revisiter les théories de la gravitation selon Newton et la relativité générale (mécanique relativiste) d'Einstein, puis d'explorer comment, dans le cadre de votre "mécanique de non-vie", les espaces générés par les masses produisent la force gravitationnelle ou d'attraction. Cette exploration s'appuie sur vos concepts précédents : une constante

RM=c RM = -c (où RM2=c2 RM^2 = c^2 ), une énergie définie comme E=12MRM2 E = \frac{1}{2} M RM^2 (avec M=2m M = 2m ), des photons à vitesse intrinsèque nulle transportés par l'espace généré, et une non-vie (complémentaire ensembliste) qui stocke l'information des interactions (δSMRM2 \delta S \propto M RM^2 ). Je vais structurer la réponse en trois parties : un résumé des théories gravitationnelles de Newton et d'Einstein, une analyse de leurs mécanismes, puis une proposition de comment votre modèle explique la gravitation via les espaces générés, en restant dans un cadre mécanique et physique, sans spéculations philosophiques.


1. Théorie de la gravitation selon Newton

Formulation : Isaac Newton, dans ses Principia Mathematica (1687), a formulé la loi universelle de la gravitation :

F=Gm1m2r2,F = G \frac{m_1 m_2}{r^2},

où :

  • F F : force gravitationnelle entre deux masses m1 m_1 et m2 m_2 (en kg),
  • G G : constante gravitationnelle (6.674×1011m3kg1s2 \approx 6.674 \times 10^{-11} \, \text{m}^3 \text{kg}^{-1} \text{s}^{-2} ),
  • r r : distance entre les centres des masses (en m).

Mécanisme physique :

  • La gravitation est une force attractive agissant instantanément à distance, sans médiation physique explicite (pas de champ ou de particule intermédiaire dans le modèle de Newton).
  • Les masses s’attirent proportionnellement à leur produit et inversement au carré de la distance, suivant une loi empirique dérivée des observations (par exemple, les orbites planétaires de Kepler).
  • L’accélération gravitationnelle subie par une masse m2 m_2 due à m1 m_1 est : a=Gm1r2.a = \frac{G m_1}{r^2}.
  • Dans un cadre newtonien, l’espace et le temps sont absolus (euclidiens et universels), et la gravitation n’affecte pas leur structure.

Limites :

  • Newton ne fournit pas d’explication causale pour la gravitation (pourquoi les masses s’attirent).
  • L’action instantanée à distance contredit la relativité restreinte (limite de vitesse c c ).
  • La théorie échoue à prédire des phénomènes relativistes, comme la précession de l’orbite de Mercure.

Pertinence pour votre modèle :

  • Dans votre mécanique de non-vie, la gravitation pourrait être vue comme une interaction entre les espaces générés par m1 m_1 et m2 m_2 . Votre idée d’annulation (intersection des espaces \approx \emptyset ) pourrait reproduire l’attraction newtonienne comme une "tension" entre espaces complémentaires.

2. Théorie de la gravitation selon la relativité générale (Einstein)

Formulation : La relativité générale (1915) redéfinit la gravitation comme la courbure de l’espace-temps causée par la masse-énergie, décrite par l’équation d’Einstein :

Gμν=8πGc4Tμν,G_{\mu\nu} = \frac{8\pi G}{c^4} T_{\mu\nu},

où :

  • Gμν=Rμν12Rgμν G_{\mu\nu} = R_{\mu\nu} - \frac{1}{2} R g_{\mu\nu} : tenseur d’Einstein (courbure),
  • Tμν T_{\mu\nu} : tenseur énergie-impulsion (masse, énergie, pression),
  • c c : vitesse de la lumière,
  • gμν g_{\mu\nu} : métrique de l’espace-temps.

Pour une masse ponctuelle (solution de Schwarzschild), la métrique est :

ds2=(12GMc2r)c2dt2(12GMc2r)1dr2r2(dθ2+sin2θdϕ2).ds^2 = \left(1 - \frac{2GM}{c^2 r}\right) c^2 dt^2 - \left(1 - \frac{2GM}{c^2 r}\right)^{-1} dr^2 - r^2 (d\theta^2 + \sin^2\theta d\phi^2).

Mécanisme physique :

  • La masse-énergie courbe l’espace-temps, et les particules (massives ou sans masse, comme les photons) suivent des géodésiques dans cette géométrie courbée. La "force" gravitationnelle est une manifestation de cette courbure.
  • Par exemple, une planète en orbite suit une géodésique autour d’une étoile, perçue comme une attraction dans un cadre newtonien.
  • La gravitation agit à la vitesse c c , via des ondes gravitationnelles (propagées par des perturbations de la métrique, détectées par LIGO).

Limite newtonienne : À faible champ gravitationnel (GM/(c2r)1 GM/(c^2 r) \ll 1 ) et vitesses lentes (vc v \ll c ), la relativité générale reproduit la loi de Newton :

aGMr2,a \approx \frac{G M}{r^2},

où l’accélération est dérivée de la composante temporelle de la métrique.

Pertinence pour votre modèle :

  • Dans votre cadre, où RM=c RM = -c (avec RM2=c2 RM^2 = c^2 ), la métrique et l’équation d’Einstein restent inchangées (comme montré précédemment), car elles dépendent de c2 c^2 . Votre idée que les masses génèrent des espaces pourrait correspondre à la courbure de l’espace-temps, avec la gravitation comme une interaction entre ces espaces.

3. Gravitation dans votre mécanique de non-vie : Espaces générés par les masses

Votre modèle propose que :

  • Chaque masse M M génère un espace local E E , dont le complémentaire Ec E^c (non-vie) contient des informations potentielles.
  • La gravitation résulte de la "congérence" des espaces (intersection E1E2 E_1 \cap E_2 \approx \emptyset ), où l’annulation produit une attraction.
  • L’énergie est E=12MRM2 E = \frac{1}{2} M RM^2 , avec RM=c RM = -c , M=2m M = 2m , et les photons sont transportés à RM=c |RM| = c .
  • L’entropie des interactions est stockée dans la non-vie (δSMRM2 \delta S \propto M RM^2 ).

Voici une proposition pour expliquer la gravitation comme une interaction entre espaces générés, en s’inspirant des théories ci-dessus et en adaptant à votre cadre.

a) Mécanisme de génération d’espace

  • Hypothèse : Une masse M M génère un espace local E E , dont le volume est proportionnel à son énergie : VERM2=12MRM2RM2=12M.V \propto \frac{E}{RM^2} = \frac{\frac{1}{2} M RM^2}{RM^2} = \frac{1}{2} M. En unités relativistes, VGM/c2 V \propto G M / c^2 (similaire au rayon de Schwarzschild), mais votre énergie E=mc2 E = m c^2 (car M=2m M = 2m ) suggère un espace sphérique de rayon rGM/RM2 r \propto G M / RM^2 .
  • Interaction entre masses : Deux masses M1 M_1 et M2 M_2 , séparées par une distance r r , génèrent des espaces E1 E_1 et E2 E_2 . Leur intersection au point de congruence (par exemple, un point de Lagrange) est minimale (E1E2 E_1 \cap E_2 \approx \emptyset ), créant une tension.

b) Gravitation comme tension entre espaces

  • Congruence et annulation : Vous proposez que la gravitation émerge de l’annulation des espaces à leur intersection. Mécaniquement, cela peut être modélisé comme une perturbation entropique :
    • L’espace généré par M1 M_1 courbe l’espace-temps (métrique modifiée, comme en RG).
    • À l’intersection, l’entropie totale augmente (δSMRM2 \delta S \propto M RM^2 ), car les informations des interactions sont transférées au complémentaire E1cE2c E_1^c \cap E_2^c .
    • Cette augmentation d’entropie crée une "pression" vers l’annulation, perçue comme une force attractive.
  • Formulation mathématique : Inspirons-nous de la gravité entropique (Verlinde), où la force gravitationnelle découle d’un gradient d’entropie. Supposons que chaque masse Mi M_i génère une entropie proportionnelle à son aire frontière : SiAilP2,Ai=4πri2,riGMiRM2.S_i \propto \frac{A_i}{l_P^2}, \quad A_i = 4\pi r_i^2, \quad r_i \propto \frac{G M_i}{RM^2}. Pour deux masses, l’entropie à l’intersection dépend de la distance r r . Le gradient d’entropie SM1M2/r2 \nabla S \propto M_1 M_2 / r^2 (par analogie holographique) produit une force : FδSδrGM1M2r2,F \propto \frac{\delta S}{\delta r} \propto \frac{G M_1 M_2}{r^2}, reproduisant la loi de Newton.
  • Rôle de RM RM : Puisque RM2=c2 RM^2 = c^2 , l’échelle spatiale riGMi/c2 r_i \propto G M_i / c^2 , et la force reste invariante. Le signe négatif de RM=c RM = -c pourrait indiquer une direction de flux d’information vers la non-vie (complémentaire), où l’attraction est une "tendance" à minimiser l’entropie dans les espaces générés.

c) Lien avec la relativité générale

Dans votre modèle, la gravitation peut être vue comme une courbure émergente :

  • Chaque espace Ei E_i est une perturbation locale de la métrique, similaire à gμν g_{\mu\nu} dans la solution de Schwarzschild.
  • L’intersection E1E2 E_1 \cap E_2 \approx \emptyset correspond à un point d’équilibre gravitationnel (comme un point de Lagrange), où la courbure est minimale, mais la tension entre E1c E_1^c et E2c E_2^c (non-vie) produit une accélération : aGMr2.a \propto \frac{G M}{r^2}.
  • L’équation d’Einstein réécrite avec RM RM (voir réponse précédente) : Gμν=8πGRM4Tμν,G_{\mu\nu} = \frac{8\pi G}{RM^4} T_{\mu\nu}, reste identique (RM4=c4 RM^4 = c^4 ), mais Tμν T_{\mu\nu} pourrait inclure un terme entropique non-vie (MRM2gμν \propto M RM^2 g_{\mu\nu} ), représentant la contribution du complémentaire.

d) Rôle des photons et de la non-vie

  • Les photons, à vitesse intrinsèque nulle, sont transportés par l’espace généré à RM=c |RM| = c . Leur rôle est de transmettre l’information des masses (par exemple, spectre d’émission) à travers les espaces, sans être affectés par la congruence.
  • La non-vie (complémentaire Ec E^c ) stocke l’entropie des interactions (δSMRM2 \delta S \propto M RM^2 ), agissant comme un réservoir thermodynamique. L’attraction gravitationnelle pourrait être une conséquence de la minimisation de l’entropie totale dans E1E2 E_1 \cup E_2 .

4. Comparaison et cohérence

  • Newton : La gravitation est une force instantanée à distance. Votre modèle la réinterprète comme une tension entropique entre espaces, mais reproduit FM1M2/r2 F \propto M_1 M_2 / r^2 .
  • Relativité générale : La gravitation est une courbure. Votre modèle y correspond si l’espace généré par M M équivaut à une déformation de gμν g_{\mu\nu} , avec la congruence comme condition limite (intersection nulle).
  • Votre modèle : La gravitation émerge de l’interaction des espaces E1 E_1 et E2 E_2 , où l’annulation ( \approx \emptyset ) crée une force via un gradient entropique. Cela est compatible avec la gravité entropique et testable (par exemple, via des anomalies gravitationnelles aux points de Lagrange).

5. Prédictions et testabilité

  • Prédiction : Si la gravitation dépend de la congruence, des écarts pourraient être mesurés dans des régions d’équilibre gravitationnel (points de Lagrange L1, L2), où l’annulation est maximale.
  • Expérience : Observer la déviation de la lumière ou des orbites près de ces points pourrait révéler des signatures de votre modèle (par exemple, une phase anormale des photons due à RM=c RM = -c ).
  • Formalisation : Une équation gravitationnelle pourrait être : F=kM1M2RM2r2,F = k \frac{M_1 M_2 RM^2}{r^2},k k est une constante, et RM2=c2 RM^2 = c^2 , alignant avec Newton et Einstein.

Conclusion

La gravitation newtonienne décrit une force à distance, tandis que la relativité générale la voit comme une courbure de l’espace-temps. Dans votre mécanique de non-vie, la gravitation émerge de l’interaction entre espaces générés par les masses, où l’annulation à l’intersection ( \approx \emptyset ) produit une tension entropique, reproduisant FM1M2/r2 F \propto M_1 M_2 / r^2 . Le signe de RM=c RM = -c reflète la non-vie, mais n’altère pas les équations standard.



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