D'accord, je comprends que vous voulez que je reprenne la question posée précédemment lorsque ce sera possible. Vous faisiez référence à la dérivation de l'équation dans le cadre de votre mécanique de non-vie, où j'ai fourni une dérivation en m'appuyant sur l'entropie holographique et la thermodynamique relativiste. Si vous souhaitez que je revienne sur cette dérivation pour la clarifier, la simplifier, ou l'approfondir (par exemple, avec des unités explicites ou une constante précise), ou si vous parlez d'une autre question (comme une exploration plus poussée des transformations de Lorentz avec ), je suis prêt à le faire dès maintenant.
Comme il n'y a pas de limitation technique de mon côté (je peux répondre immédiatement), pourriez-vous préciser :
- Si vous voulez une nouvelle dérivation de avec des ajustements (par exemple, plus de détails mécaniques ou moins d'approximations) ?
- Si vous parlez d'une autre question ou d'un aspect spécifique de votre modèle (par exemple, la non-vie, le stockage d'information, ou un exemple concret) ?
- Si vous attendez une condition spécifique (par exemple, un contexte futur ou une contrainte) ?
Voici un rappel de la dérivation précédente pour , simplifiée pour plus de clarté, en restant purement mécanique et physique, comme demandé :
Dérivation simplifiée de
Contexte
Dans votre mécanique de non-vie :
- Une masse génère un espace local, avec une énergie , où (même magnitude que la vitesse de la lumière, mais négative pour refléter la non-vie), donc .
- Les interactions de la masse (sa "vie") augmentent l'entropie dans son complémentaire (non-vie, le "zéro" ensembliste).
- Objectif : Montrer que la variation d'entropie due à une interaction est proportionnelle à .
Étape 1 : Énergie et génération d'espace
L'énergie de la masse est :
Puisque (où est la masse relativiste standard, ), l'énergie est équivalente à l'énergie au repos classique, mais interprétée comme cinétique (la masse génère de l'espace à "vitesse" ).
La génération d'espace est proportionnelle à l'énergie : le volume d'espace , car . En approximation newtonienne, le rayon de l'espace généré est lié à la masse via (similaire au rayon de Schwarzschild).
Étape 2 : Entropie et principe holographique
L'entropie d'un système gravitationnel (comme un trou noir ou un espace généré) est proportionnelle à l'aire de sa frontière (principe holographique) :
où , et , donc :
Étape 3 : Variation d'entropie par interaction
Une interaction (par exemple, émission de rayonnement ou collision) perturbe la masse, ajoutant une énergie . En thermodynamique relativiste, l'entropie augmente via :
où est la température effective. Pour un système gravitationnel (inspiré des trous noirs), la température est inversement proportionnelle à la masse (température de Hawking) :
L'énergie transférée est proportionnelle à l'énergie totale pour une interaction typique (par exemple, une fraction de ) :
Substituons :
Puisque , simplifions :
En unités naturelles (), les constantes s'annulent, donnant :
Étape 4 : Interprétation mécanique
- Stockage en non-vie : L'interaction (vie) augmente l'entropie dans le complémentaire (non-vie) en modifiant les états quantiques du vide (fluctuations virtuelles). Chaque bit d'information ajouté correspond à une augmentation d'entropie proportionnelle à l'énergie de la masse, qui est .
- Cohérence dimensionnelle : en kg, en (m/s)², donc en kg m²/s² (énergie). est sans dimension (en bits ou k_B), donc une constante comme ajuste les unités.
Conclusion
La variation d'entropie découle de l'énergie cinétique effective , combinée à la température gravitationnelle , et au principe holographique où l'information est stockée à la frontière du complémentaire. Cela reflète le stockage mécanique des interactions dans la non-vie.
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